En un mot: Toujours pas de confiance

Si les chefs d’Etat de la CEDEAO ont reconnu samedi à Accra « des avancées positives » au Mali, ils ne semblent toujours pas vouloir nous faire confiance. Malgré le travail des lobbyistes depuis plusieurs semaines, ils ont maintenu la mesure de suspension du pays jusqu’aux élections de février 2022.

La menace d’autres sanctions plane jusqu’à l’adoption d’un nouveau calendrier électoral et surtout du mécanisme de suivi. D’ailleurs, les partenaires techniques et financiers traînent le pied pour la reprise de la collaboration. Le président ivoirien, Alassane Dramane Ouattara, est chargé de les faire revenir.

DAK

Source: l’indicateur du renouveau

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