En un mot : quand Kidal dérange jusqu’à la Cédéao

Ce n’est pas seulement le Mali et le Niger que le statut de la ville de Kidal dérange. On assiste désormais à une levée de boucliers sous-régionale contre la ville rebelle et surtout complice des terroristes.

 

Les chefs d’Etat de la Cédéao veulent en faire leur affaire et exigent que les autorités maliennes prennent pied dans la Capitale de l’Adrar des Ifoghas. Une pression supplémentaire pour les garants de l’accord de paix signé depuis quatre ans, mais qui n’a rien apporté comme amélioration de la situation sécuritaire dans le pays.

On ne sait pas jusqu’à quand Français, Algériens et autres pourront soutenir des individus qui font double-jeu… disons qui font le jeu des terroristes et autres trafiquants.

Hier à Ouagadougou, les ministres des pays du G5 Sahel n’ont pas hésité de désigner Kidal, sanctuaire des terroristes. Des pressions supplémentaires…

DAK

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