Pari Mutuel Urbain – Pmu-Mali : La cabale contre Fassery éventée et éventrée

Le PMU-MALI est une fierté nationale. Mais un non-initié ou un ignorant ne connaît pas tous les contours de sociabilité et de solidarité de la société. Pire, un plumitif ou un détracteur niera l’évidence et se bornera à pourfendre l’institution hippique par son plan machiavélique et tentera à saborder les efforts des responsables du pari mutuel urbain malien. En effet, le PMU-MALI joue un véritable rôle de régulateur dans la lutte contre la pauvreté dans notre pays et constitue ipso facto une véritable soupape de sûreté pour la création d’emplois. Et tout baigne dans l’huile depuis l’arrivée de Fassery Doumbia, un homme rompu aux tâches de la haute administration et de la haute finance.

Le PMU-MALI apparaît, aux yeux de nombreux maliens, comme une vache laitière intarissable, à telle enseigne qu’elle est convoitée par beaucoup de cadres. Les anciens directeurs éphémères multiplient les engueulades et les exhibitions de muscles pour faire leur retour, mais le bateau Malikura ne les attendra pas. Ils ont raté l’avion.

Le très sérieux ministre Alhousseyni Sanou de l’Économie et des Finances en collaboration avec le très rigoureux et respecté Fassery (DG du PMU) continuent d’abattre un travail d’Hercule pour la pérennisation de la société. Car véritablement, l’institution hippique a fait un bond en en-avant sous leur égide. On peut même dire que le PMU-MALI a entrepris une croissance macroéconomique fiable et durable.

LES FAITS ? PARLONS-EN !

Dès sa nomination, Fassery Doumbia a compris que, seules, les ressources humaines peuvent lui permettre de booster et de pérenniser les acquis afin de s’orienter radieusement vers l’avenir. C’est pourquoi il a commencé non seulement par recruter des agents, mais aussi, en les mettant dans des conditions idoines de travail. Mieux, il a augmenté leurs salaires en leur accordant davantage de primes. Ce n’est pas tout. Monsieur Doumbia, qui brille par une probité morale irréprochable, est resté à l’écoute de ses collaborateurs et a entrepris la construction des logements sociaux pour les travailleurs. Qui a fait mieux jusque-là ? Il faut rendre à César ce qui appartient à César.

Aujourd’hui, quand on travaille au PMU-MALI, on ne meurt plus inutile. Oui, cette institution est plus proche de ses cadres, de ses agents… la liste est longue… Et quand on tente de démolir une telle personnalité, digne de foi, humble, sublime et résilient, par média interposé, la pusillanimité et l’apatridie de leurs auteurs, sont mises à nu. L’être humain est devenu si méchant qu’il tente de décourager, par leurs maladresses quotidiennes, les patriotes sincères et les hommes de bonne foi et de bonne famille. Fassery est un exemple et un symbole de mère courage. Il doit plutôt mériter de la patrie car la confiance ne se présume pas.

Si Assimi continue à lui faire confiance, ce n’est pas gratuit. Les sorties médiatiques n’entameront jamais le moral et le mental de ce cadre chevronné, Chevalier de l’ordre national du mérite. Au contraire, l’homme sera davantage motivé et galvanisé. Et il le fera encore savoir par son abnégation et son savoir-faire par des actions salvatrices au bénéfice de la société. C’est un homme en acier trempé que rien ne fera reculer. Une vraie muraille, en somme.

Issiaka SIDIBÉ

Source : Le Matinal

Suivez-nous sur Facebook sur