Tempête dans les finances au MDAC : Le soldat Tiemoko Sangaré en grande panique!

Le Mali à l’heure des épreuves particulières, surtout, dans une ambiance de tension et de pression consécutives à la démission de Soumeylou Boubèye Maiga. Cette situation a immédiatement produit des conséquences dans plusieurs structures où les responsables n’auraient jamais cru au départ du Tigre.

 

L’ex premier ministre qui d’ailleurs, aurait été repéré ce vendredi soir vers 21 heures devant une nouvelle villa, non loin du siège d’Air France à l’ACI 2000. Il aurait visité la luxueuse villa en compagnie de sa famille. D’après nos recoupements effectués, il souhaiterait y déménager dans un avenir proche.

Selon nos sources concordantes sécuritaires, le médiocre et très nul ministre de la défense, Tiemoko Sangaré aurait ordonné hier vendredi, l’arrêt des financements des dépenses d’urgence qui étaient en cours au niveau des opérations militaires.

Sur ses instructions, nous glisse une source, tous les fonds disponibles au niveau du ministère de la défense auraient été récupérés par le cabinet du ministre . Les comptables de l’intendance militaire auraient passé la nuit du 19 au 20 Avril 2019 au service pour mettre de l’ordre dans les documents justificatifs.

Toujours, d’après des sources sécuritaires, bien que ce jour samedi soit férié, l’ensemble de la hiérarchie militaire et des services financiers des Fama seraient présents dans les bureaux pour mettre à jour les dépenses et acquisitions de la période de gestion impliquant le ministre Tiemoko Sangaré.

Il y a quelques jours, à la face des maliens, devant le parlement, l’un des maillons faibles du gouvernement de Boubèye, avait essayé de se débattre sous les questions brûlantes du Dr Oumar Mariko.

Le secteur de l’armée qui devrait ipso facto monter en puissance, n’aurait pas connu d’orthodoxie dans la gestion. Il faudrait donc tenter de prendre les devants afin de couvrir ses arrières. Les vaines tentatives de faire dévier les députés Adema en défaveur de la motion de censure auraient donc une partie de leur explication.

Affaire à suivre

 Figaro Mali

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