Le commissariat du 6eme arrondissement empêche un cambriolage à SIKORONI dans la commune I du district de Bamako

Dans le cadre de l’opération coup de poing initiée par le ministère de la Sécurité et de la Protection Civile, le Commissariat du 6ème Arrondissement de Police, comme tous les autres Commissariats s’active pour la sécurisation de la ville de Bamako et alentours. A cet effet, les agents ce commissariat ont empêché un cambriolage à Sikoroni en Commune I du District de Bamako.

 

Dans la nuit du 2 au 3 mars aux environs de 3 heures du matin une équipe dirigée par l’intrépide et vigilant chef de Brigade de Recherche de la police du 6éme arrondissement le Capitaine surnommé «Japon», en mission de patrouille, a reçu une information de la part d’une tierce personne, relative à la présence d’individus armés sur le point de cambrioler une boutique à Sikoroni.

Aussitôt informés, tout travail cessant, le capitaine « Japon » et son équipe se sont rendus rapidement sur les lieux indiqués par l’informateur. Ils arrivent au bon moment. Les malfrats après avoir bien quadrillé toutes les issues menant à la boutique concernée, avaient commencé leur sale opération. Dès que les limiers du 6èmearrondissement ont fait leur apparition, les cambrioleurs armés ne se sont pas fait prier pour prendre leurs jambes à leur cou pour prendre la tangente.

C’était sans compter sur la perspicacité et la détermination des hommes du capitaine ‘’Japon’’, lesquels ont lancé une course poursuite contre les malfrats. Lesquels ce jour avaient des jambes agiles pour s’échapper à la vitesse de la lumière. Dans leur course folle, ils ont abandonné en cours de route leur arme à feu de type Baïkal série T02-17-01 numéro AAN 10809 de fabrication russe. Un outil précieux, désormais à la disposition de la brigade de recherches du 6ème arrondissement, pour mettre le grappin sur ces braqueurs, peut-être dans leur sommeil.

A noter que depuis le début de l’opération coup de poing, la peur a visiblement changé de camp dans la capitale. Les malfrats qui faisaient peur et régnaient en véritables maîtres des lieux ont désormais la queue rangée entre les jambes. Les bandits qui opéraient en pleine journée en toute quiétude opèrent désormais en catimini dans le noir et prennent la fuite dès après avoir senti une moindre odeur des forces de l’ordre.

En tout état de cause, c’est la quiétude de la population qui est préservée. Et elle le sera encore davantage si elle accepte de coopérer avec les forces de l’ordre en les dénonçant tous ces malfrats cachés dans les chambres intérieures des maisons.

Fatoumata Coulibaly

Le SURSAUT

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