Fuite des sujets du DEF : un des cerveaux arrêtés par le commissaire divisionnaire de Kalaban coro, Amara Doumbia et ses hommes

C’était à l’école publique de Gouana (Commune rurale de Kalabancoro), abritant un centre d’examen pour l’obtention du diplôme d’études fondamentales. Face aux nombreuses alertes relayées par différents canaux et relatives à la fuite des sujets du DEF, L’imperturbable Commissaire Divisionnaire Amara DOUMBIA, chargé du Commissariat de Kalaban coro, cet officier supérieur de la Police Nationale, pétri d’expériences stratégiques, est un homme, connu pour sa constante motivation à relever les défis. Après plusieurs années en mission onusienne, il a pris les rênes du commissariat de Kalabancoro il y’a moins d’un an. Mais se fait remarquer par ses innovations majeures axées sur l’usage des nouvelles technologies pour donner un nouveau visage à la Police Nationale pour engranger des résultats méphistophéliques. Ainsi le Compol Divisionnaire Amara, et ses éléments de la brigade de recherches du commissariat de Kalabancoro, étaient sur les starting-blocks, pour déceler les actions de tout réseau macabre opérant (en tout cas dans leur zone de compétences) dans la vente des sujets et corrigés pour l’examen du DEF.

 

C’est ainsi que le Mardi dernier, dans l’après-midi, à l’école de Gouana, un homme (Enseignant de son état dans une école privée à Gouana) a été appréhendé de façon flagrante dans la cour du centre d’examen, avec un sac contenant les sujets et corrigés des épreuves non encore faites. Interpellé, l’enseignant en question qui fait la honte de tous les dignes Enseignants, n’a pu brocher mot car pris en flagrant délit.
Interpellé et acheminé au commissariat de Kalabancoro, par l’agent dénommé LS de la brigade de recherche il a été auditionné par le chef BR capitaine de police Boubacar Diarra.
Le Commissaire Divisionnaire Amara DOUMBIA, un féru des nouvelles technologies, a passé au peigne fin avec ses éléments le téléphone de l’individu alpagué. Cette investigation numérique a permis de savoir que l’individu arrêté appartient à un réseau de 30 personnes, dont les échanges se faisaient dans un groupe WhatsApp nommé “inch’Allah”. L’individu (Enseignant) a reconnu les faits qui lui sont reprochés. Il avoua que le cerveau du réseau les envoi les sujets dans ce groupe WhatsApp, et eux à leur tour, ils impriment, pour ensuite effectuer le dispatching à leurs élèves qui font l’examen dans les différents centres . C’est ainsi qu’il a été présenté au Procureur de la république, près le Tribunal de Grande Instance de La commune V.

Le Commissaire Divisionnaire Amara DOUMBIA et ses hommes, sont décidés à mener une lutte implacable, inaltérable, indéniable, et inébranlable contre toutes les pratiques attentatoires aux règles et textes en vigueur dans notre Pays.

Source : Soudan infos

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