Kidal : Si les ex-rebelles étaient derrière les agresseurs

Le CICR a affirmé vendredi dernier qu’“après avoir obtenu les garanties de sécurité nécessaires pour le personnel et les biens du CICR auprès des autorités et des leaders de la région”, l’organisation a “décidé de reprendre ses activités humanitaires au profit des populations victimes du conflit armé et des violences dans la région de Kidal.

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Pour certains, cet engagement confirme bien que ce sont les anciens rebelles qui sont derrière les violences dont sont victimes les humanitaires dans la région de Kidal.

Le CICR précise que “les programmes d’urgence, à savoir la fourniture d’eau potable et le soutien à l’hôpital de Kidal, n’avaient pas été concernés” par cette suspension.

Rassemblés par MD

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