Hypothèse 1 : C’est une attaque classique, les terroristes arrivent par surprise ou pendant qu’ils arrivent on signale à la hiérarchie et personne ne réagit. Ils sont en pleine force, ils agissent et les soldats nigeriens ne font pas face aux assauts. Ils étaient tous aux abonnés absents et ils n’ont tous pas été vigilants et l’attaque les a surpris. Facile c’est trop facile. Ça c’est la pilule qui ne passe pas.
Hypothèse 2 : selon les infos recueillies de témoins, un avion à survoler la zone avant l’attaque.
Selon Radio France Internationale, RFI, deux cibles ont été détruites avant l’attaque : la zone de transmission dans le camp et la poudrière. Donc on a désarmé simplement les hommes et empêcher tout appel de renfort. Le chemin était désormais ouvert pour agir par les hommes au sol.
Si on analyse bien, un camp avec des miradors, et donc des sentinelles qui voient à au moins un 5km, 10 kilomètres donc qui voient venir une colonne d’hommes en pleine journée il y’a de quoi mieux résister. Si c’était effectivement des hommes à moto qui étaient venus uniquement et qui avaient combattu. Par contre si l’intention était de vous couper de tout. Si l’avion a été une arme d’abord pour détruire la poudrière et la zone de transmission. Ce qui aurait pu brouiller le réseau et empêcher les appels téléphoniques. Alors là on est dans le piège que soit les terroristes sont super équipés avec avion ou drones. Oubien tout simplement ce sont des gens qui savaient bien l’emplacement de la poudrière, de la zone de transmission et l’ont détruit pour faire avancer des terroristes à moto.
Malgré tout les soldats ont été vaillants ils ont neutralisés 57 des ennemis du nos peuples. Les aéronefs il faut les surveiller, la France, il faut la surveiller, la surveiller de très près.
Je maintiens que c’est un avion qui a survolé. Rfi a bien signifié que ces cibles cités ont été détruites. Alors. Et le communiqué de l’Elysée qui dit qu’après concertation avec le président du Niger, ils ont reporté le sommet convoqué de Pau du 16 décembre pour début janvier… c’est tout simplement ahurissant. La rapidité avec laquelle on reporte les choses comme si on s’y attendaient.
Ça vient petit à petit et tout va se savoir, ceux qui tirent les ficelles jouent leur survie et n’echapperont pas à l’histoire qui s’écrit, l’histoire de leur découverte et défaite.
Je suis théoricien du complot. Oui je l’assume et tout va se savoir dans ce sahel. Nos ennemis sont là sous nos yeux en mode coopérant mais criminels au fond d’eux.
Z R
Source : GAO INFOS